Chercheur d’excuse, ça paye bien ?
L'autre jour, un ami m'a montré son carnet de correspondance de première. On s'est amusés à lire les justificatifs de retards et d'absences qu'il collectionnait. Au début, ça partait bien : « Retard SNCF », « Problèmes intestinaux », « Mal de tête »…
Puis « Problèmes familiaux », « Panne de réveil », « Accident de train »…
Pour finir par « Motif de retard : Retard » et « Absence pour attentat », probablement mes deux préférés.
Arrivé à la mi-octobre, il n’y avait plus de place pour les mots d’excuses. Il avait donc en toute logique arrêté d’aller en cours, ce qui semblait plus simple : après un mois et demi, il avait épuisé tous les motifs existants...
Pour ma part, je sais que ces trois jours à venir vont être très compliqués et que je n’aurai pas le temps de me connecter pour écrire… Je me suis donc mise en quête d’une excuse valable et j’ai finalement trouvé :
Absente ce week-end pour cause de Bouddhisme.
Moi, je trouve que ça pète.
D'autant plus que c'est vrai.
Désormais, quand on me dira « Tu fais de le Buddhimmse ? », je pourrai répondre : « Oui. Et pas qu’un peu, mon neveu. »